Marcher, marcher, marcher, c'est peut-être la solution finalement
Juste marcher, et les pas mènent à la vie à la mort
Au bien, et les pas mènent au mal
A la pluie noire musicale et sans fin
Joyeuse tout de même à ses heures
Et, voleur du passé, je réecris au printemps ce que j'avais écrit en automne
Tout en m'amusant du monologue rectiligne
Vers l'avant, biensûr
Car il ne vaut mieux pas se souvenir
On l'a déjà trop fait
C'est pourquoi marcher en silence et les yeux grand ouverts
Alors, il fait juste beau
C'est juste la vie
Les yeux acidulés
Les pierres de tailles blanches
Et un sourire, un seul,
Un sourire... deviné.
mardi 21 avril 2009
Orbital walk
Raconté par Nicolas Bouby vers 14:38
thèmes et choses : sens de la vie
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