- La poussée vecteur
"de la cantine" de direction variable, de sens la plupart du temps "vers toi", de point d'application "la porte de la cantine" et de valeur C (en N)
- Le nombre n de personnes voulant manger, entier naturel
- La faim moyenne Ξ des personnes en question, mesurée en P (patates).
- La largeur l de la porte d'entrée de la cantine (en m)
Λ est évidemment une constante, exprimée en... S.I.
Elle reste encore à calculer avec précision.
Interessons-nous maintenant à Ξ, la faim en patates.
Pour une cantine classique de lycée, on peut l'exprimer très clairement :
- E l'énergie, en J^(-1), dont l'élève affamé a vraiment besoin
- K le nombre d'heures de cours de la matinée
- Gamma un facteur de gourmandise, propre à chacun (en patates^(-1) )
- Iota, l'interêt de l'élève pour la matière précédent l'heure du déjeuner (en c.s... quelque chose comme ca, je crois...)
- Zêta la qualité du cours précédent l'heure de déjeuner
- tk le temps total de contrôle(s) dans la journée de l'élève, en s.
Maintenant vous savez tout et en faisant la moyenne des faims de chaque élève, on peut appliquer la première formule pour déterminer la Poussée de la Cantine et calculer grace à un système d'équations la configuration idéale pour éviter de se faire écrabouiller.
En effet le volume des élèves est aussi à mettre en relation avec tout ca.
musique : radioblogclub a l'air en panne ce soir, alors en attendant, écoutez ca :
Syd matters : It's a nickname
Muse : Map of the problematique
Je détaillerai le Zêta peut-être un autre jour, en attendant j'arrête de vous soûler !
Bon après-midi.
Nicolas
photo : je l'ai prise il y a environ un an, à Paris.