trop de films

Salut, j'ai vu pas mal de trucs ces deux derniers jours, je voulais en écrire, seul devant cet écran à la con ^^ .

Hier soir (et juste après Les poupées russes dont je vais pas parler parce qu'on s'en fout, tout le monde l'a vu), le Péril Jeune de Klapisch.
Quatre potes se retrouvent dix ans après, à la naissance du fils du cinquième pote, mort entre temps.
Et ils se rappellent de leur année de Terminale, du souffle de la jeunesse...
C'est donc un gros flashback avec des jeunes des années 70...
La rebellitude, l'incertitude et tout.
J'ai beaucoup aimé, bizarre.

Ce matin j'ai vu Paris du même Klapish, au cinéma.
J'ai bien aimé...
Enfin ce sont des histoires sans début, sans fin, qui se croisent vaguement de loin... Devinez quoi, surprise surprise, le point commun c'est Paris.
Mais bon. En sortant je voyais les gens et je me suis souvenu qu'ils vivent eux aussi avec leurs problèmes...
C'est compliqué un monde.

Ce soir j'ai vu Into the Wild, de Sean Penn, au cinéma (et sur la photo de l'article maintenant)...
Ca m'a beaucoup touché...
C'est troublant, on peut trop s' identifier et après...

C'est peut être cette accumulation de films mais je suis incapable d'écrire autre chose que des banalités là.

En tout cas...
Rien !

Rhaa, je suis en pleine contradiction dans mon esprit, bon quoi?
Ah oui : Le mec de Into the wild aurait du prendre une guitare...

Je pense...
Je suis pas sûr en fait... Et puis elle serait morte 10 fois dans le périple...

Salut...
Nicolas