lundi 31 mars 2008

Ralentissement Critique


Salut, et désolé pour cette grosse absence.

Mon ordi est mort il y a un peu plus d'une semaine !
Ca avait l'air d'être l'alimentation.
Ca n'était pas l'alimentation.

Et donc ca va prendre un peu de temps pour réparer...
Mais en attendant on m'a gentiment prêté un ordi tout pourri qui galère pour venir sur mon blog, mais j'arrête tout de suite de me plaindre parce que c'est mieux que rien.

Quoique...
C'est vrai que j'avais pas prévu autant de temps, libre de l'ordinateur.
Ca change et ca permet de faire de temps en temps autre-chose !

Rêver...

Sans compter les photos, la musique, les dessins, l'écriture, les ciels pluvieux par la fenêtre, la guitare à la main, les livres, le sommeil, le sport, les concerts, les amis, le cinéma, les exercices de maths arglh, la télé un peu de temps en temps, encore la guitare, la mélancolie et les songes...

Songes.. et illusions.. d'un personnage.. ordinaire..
Voilà un sujet difficile.
Et pourtant, ma prof de théâtre me conseille un concours d'écriture avec ce thème..
Songes et illusions d'un personnage ordinaire.
Voilà un truc qui va encore me prendre du temps !

Bonne semaine, et désolé pour cet article pourri...
Nicolas

photo : quand la pluie s'arrête...

samedi 22 mars 2008

Réchauffement blogique


Enfin changement de design, quoi ^^.
Je passe aux couleurs du printemps, pour changer un peu.
Soyons nostalgiques...
Heu... article en attente d'autre sujet pour l'instant !
(repasse plus tard, quoi)

vendredi 21 mars 2008

Flocon de Von Koch


Il ouvre les yeux.
Tout est comme avant.

Il y a un casque par terre. Quelques feuilles remplies d'équations barrées tiennent sur un bureau. Il y a des livres, et des disques de musique. Un appareil photo est posé là... A coté des mouchoirs.
Il y a un plan de vélo coincé entre l'agenda et le dossier sur les studios d'enregistrement.
Un chaise vide.
Et une balle de volley, par terre, en face des appareils de traitement du son. Beaucoup de câbles trainent partout. Encore quelques feuilles avec des tentatives de brouillon de devoir de maths... Un ordinateur, avec une planète bleue qui défile lentement sur l'écran.
Il y a des boites vides, d'autres remplies... Et des manuels scolaires qui tombent du canapé. Un coussin en équilibre, et des partitions un peu partout. La calculette graphique attend patiemment en dessous d'un harmonica, sur une pile de papiers en désordre. Tiens, encore un mouchoir : Il était malade, ces temps-ci.
Rien ne bouge, pour l'instant.
Ni la peluche accrochée à une lampe, ni la bouteille en verre, ni les bateaux en bois,ni les cartons entassés, ni les stylos en désordre. Les vêtements éparpillés sont contents d'avoir un répit.

Il n'a plus le temps, il faut avancer.
C'est urgent, on se reposera après, pour l'instant le temps passe.
S'arrêtera-t-il un jour?
Il ne veut pas y penser, il ferme les yeux, il attend, il se repose.
Il s'endort presque, même si quelque chose le retient.

Et quand il ouvre les yeux,
Tout est comme avant.


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Ouais, il paraît qu'en ce moment c'est un peu en train de devenir le printemps.
On dirait pourtant pas ( à ce propos le précédent article est très mal tombé avec ce refroidissement soudain...).

Bon, voilà, j'ai pas le temps :
cours, révisions, concert, sport, théâtre, stress, retour de maladie, oral de TPE, musique, stress, devoir urgent, sketch, traversée, mise en scène, poésie, stress, conseils et remplacements, sport théorique, chimie organique, et contrôle de maths. Puis... Bac de français, nouveau programme, bac tout court, études intenses ou intensives, vie, stress et boulot, et angoisse de la mort.
Beuh.
Désolé ^^
J'essaierai d'écrire quand même un minimum pour l'équinoxe.

Et au fait, session surprise Vendredi 21 mars au lycée Rodin, m° Corvillard, à 18 heures, pour une toute dernière avec super mise en scène.
Ouais, venez.

Bonne nuit...
Bon week end, dodo, repos, si vos 2 semaines ont été lourdes...
Nicolas

photo : au concert de EZ3kiel mardi, à la Cigale.

samedi 15 mars 2008

Un printemps

Ce truc fait un peu suite à l'autre.
-- Ca y est, c'est fini.
Plus d'excuse pour se ruiner les yeux.
Il y a un soleil, et il ne fait même plus nuit.

La vie est plus facile, et pourtant... On voudrait quand même rester malheureux.
Ca serait encore plus facile.

Les lumières ne se remarquent plus, elles sont perdues dans la grande lueur d'un vrai jour...
Et pourtant voilà encore une soirée perdue, une soirée sur internet, une soirée inutile et qui manque de poésie.

Le rappel à la vie s'est envolé, mais la vie nous prend, elle ne se fait pas attendre. Bientôt il fera trop chaud, et il s'arrêtera de pleuvoir... Et alors on ne pourra plus rien cacher...
Et il n'y aura plus rien à dévoiler.
Il faudra un prétexte.
Un prétexte pour écrire, un prétexte pour composer, pour faire exploser son mal-être irraisonné, un mal-être à la peau bronzée...
Les lumières et les sons sont partout, alors pourquoi essayer d'en créer?

Mais heureusement, l'eau scintille. L'herbe bientôt sera sèche, on pourra étaler sa masse qui n'a pas vu la terre depuis longtemps.
Libres.
Comme le vent chaud...
Ou comme les épis de blés fauchés?

En tout cas, ça ira.
Cette fois encore...
On ne se posera plus de question. Et on dormira presque à la belle étoile ; On regardera la courte nuit s'écouler. On oubliera, et on jouera de la guitare.
On regardera les collines, et on rêvera de voir ce qu'il y a derrière.
D'autres collines...
La vie...

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Eh, bon, voilà.

J'ai l'écriture facile (un peu trop?), j'ai eu un échauffement de 4h (bac blanc de français) ce matin...
Bon, maintenant que j'ai écrit mon chose... J'ose plus le relire.
"Je le publie, on verra après"
Après on me dit que je suis organisé :-o !
Enfin, bonne nuit et bon dimanche !
Nicolas

photo : avril dernier... Ouais, y a un an, voilà, à Paris.

vendredi 14 mars 2008

Aux Poètes Printaniers...


L'éloge de l'autre, ils s'habitueront, Darmoudjamat.
Il sont adossés contre le ciel, et ma vie non-plus ne vous regarde pas !
Ils sont une trentaine, les amis de ce pays là valent bien, dit-on, ceux du notre, comme une étoile au fond d'un trou.
Mais tu vois ce qui m'ennuie, c'est que ca soye à Pigalle, j'ignore sous quelle latitude elle est située.
Chaque cœur qui bat est un feu, je passe le bonjour des grandes capitales.
Blessées, meurtries, et cinq ans d'Afrique du Nord, j'ai fait, ça c'était chouette.
Et il efface tout : les chiffres et les brûleurs des grandes ordures de la Ville de Paris.
Es-tu, toi aussi, es-tu Autre?
Si ton âme est ta sombre geôlière, et Vertigineuse Douceur, Orphée avait touché le seuil de ce palais.
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage prennent des albatros, et non un nid pour les hirondelles.
Impose ta chance, va vers ton joli dragon d'or fait de papier plié, et le soleil, le vent.
Mets ta main dans ma main tendre, je t'aime, ô la pierre du mouvement et de la vue...
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée, je les regarde, et ils m'en donnent droit !
Ta patrie, qui dégueule à petits coups, sans souffrance particulière, comme on en lit sur le journal, comme on en dit le soir chez soi.
Alternativement tendre, rêveur, cruel, et l'obscurité toute entière pour me souvenir de tout cela, en te serrant dans mes bras.
Cet amour, si violent, si fragile, si tendre, si désespéré, comme un vent frais dans un ciel clair.
Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu, je suis un gros éléphant.
Toujours la longue faim me suit comme un recors, la ruelle sinistre est une montagne sans crevasse.
Il ne m'interesse pas ; Laissez moi passer.

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Merci encore à tous ceux qui sont venus écouter des poèmes (magnifiquement dits) cette semaine !
Bon courage à ceux qui ont un bac blanc demain matin !
Ou un match l'après midi !
Ou les deux !

Bref, une bonne semaine poétique, dommage que ce soit fini.
Nicolas

photo : eh, le printemps des poètes chez Julien, rue Lepic.
texte : souvenirs épars et mélangés de beaucoup de poèmes... C'est à dire que pas une phrase ou presque ne vient entièrement d'un seul poème !

mercredi 12 mars 2008

Même pas de titre

Ouais, ouais, ouais...
J'ai le temps d'écrire un truc là.
Ouaaaais.

...

HUM...

Eh ben, ça va loin !
Alors, voilà voilà, sortons une tyrade pixellisante ou autre connerie improvisée, vite vite.

Eh non.
Aujourd'hui je n'écrirai rien d'interessant !
Et même rien de pas intéressant, na !

Je suis contrariant, hein :-p.

Mais si je continue comme ça, personne ne va le lire !
Ahh...
Vite, un truc :


EZ3KIEL
envoyé par artaba


Heu, voilà un groupe bizarre découvert avant-hier par un pote (qui aime pas les blogs, je le comprends) et que je vais peut-être voir en concert la semaine prochaine !

Bon, j'aurais plus d'inspiration ces prochains jours??
Espérons.
Parce que là...

Bah, Bon Après-midi !
Et oubliez pas le Printemps des Poètes, bande d'incultes...

Nicolas

photo : tiens, mais c'est-y-quoi cette photo?

lundi 10 mars 2008

Eloge de l'autre

Viendez, viendez tous au Printemps des Poètes !
Parce que "Je est un autre", comme dit l'Rimbaud.

Cette semaine, avec l'atelier théâtre du lycée, on dit des poèmes tous les soirs, dans des cafés, plus ou moins à Montmartre...
Alors rendez-vous, hein :

Cet après-midi (c'est trop tard, mais c'était bien quand même) à 17h chez Julien, 2 rue lepic...

Demain mardi, à 17h au Chaptal, Bd des Batignolles en face du lycée du même nom, métro Rome vous pouvez pas le rater !

Mercredi 12 à 17h au Relais Gascon, 13 rue Joseph de Maistre, métro Blanche près du pont au dessus de cimetière de Montmartre.

Jeudi 13 à 18h au Grand Hotel de Clermont, chez Ammad, 18 rue Véron, en plein coeur du village... Métros Blanche, Pigale, Abbesses, à vous de voir...

Vendredi 15 à 17h, au Café du Commerce, 13 rue Clignancourt, près du métro Barbès-Rochechouart, une immense brasserie pour finir la semaine !

On aurait du aussi jouer aux Deux Moulins d'Amélie Poulain, mais le propriétaire trouve que ca plait plus trop aux touristes japonais !

C'est super convivial, poétique...
Youpi.
Venez tous.

Bonne semaine,
Nicolas

photo : c'est grâce à Paris que je peux aussi en faire des comme ça, fin février...

dimanche 9 mars 2008

Parasites


Maalaade.
La caverne se referme dans ses galeries végétales et vivantes...
Suffocation.
L'exterieur est trop grand !
Pourquoi la vie est-elle insupportable?
Repli sur l'interieur sali...
Assailli...
Aïe !

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Super, je tiens pas debout la veille de la rentrée et surtout du Printemps des Poètes !
Je vous communique les lieux et les dates précises demain...

Soignez-vous bien, la vie en vaut parfois la peine. (quand même !)
Nicolas



photo : une déformation d'une photo de flaque d'eau parisienne. Si si, j'ai fait ça il y a quelques mois !

samedi 8 mars 2008

Asolitude

Ah, il existe pas ce mot, vous êtes sûrs?

Banzaï.
Une vallée enneigée, un coeur alpin, heu...
Une certaine protection terrestre aux assaux des éléments...
Vous voyez le truc?

Hum...
Comme une perpétuelle musique qui réveille, c'est l'attention sauvage de survie associée à la civilisation et au luxe.
A la beauté, et à l'amitié.

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Hum, j'imagine que vous ne comprenez rien à ce que j'écris là !
Mouais, il fallait bien que je fasse un petit truc juste pour dire que je suis rentré d'une excellente semaine en Autriche, ponctuée de chaussettes, de soupes, de dark Joseph, de gros luc et de conneries diverses...
De glisse et de rêveries montagneuses...
(et vacanceuses, hein)

Bonne soirée, et voyagez.

dimanche 2 mars 2008

On the road, on the sea


Je suis tombé sur un site québécois qui explique comment voyager sans trop d'argent : En stop, et à pieds, à travers le monde.
Ça fonctionne peut-être plus facilement au Canada qu'en Europe, je ne sais pas, mais ça peut marcher...
Il y a des pouceux (comme ils disent !) qui survivent comme ça pendant quelques années, de ville en ville, en apprenant des petits artisanats pour gagner de l'argent, ou à jouer d'instruments de musique, en se débrouillant...
C'est vrai qu'ils vivent !
Toujours en voyage, souvent sans destination précise et en comptant sur les gens pour être sympa, avec des amis improvisés qui les invitent parfois à dormir au chaud plutôt que dans la tente habituelle, ils sont libres.
Tant qu'ils restent en bonne santé... :-(

Mais bon, il faut oser partir...
Et porter sa maison sur son dos entre les phases de confection de paniers en osier et de vendanges...

Libres sur les terres, porté par les routes et les rails !


Un autre terrain de voyage où on se sent libre, c'est l'eau, la mer.
L'océan...

Le vent, et sa force, porte les voiliers au gré des cordes et des marins...
Mouais ! N'importe-quoi cette phrase !
C'est pas grave je me rattrape un peu avec la photo.


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J'aurais bien aimé écrire un long article rêveur ; mais mon réveil sonne dans 5 heures et 37 minutes, pour que j'aie mon train pour l'est à 7 h15...
Je pars skier dans les Alpes autrichiennes !
Bonnes vacances à ceux qui y sont toujours...

Et les autres, eh, je penserai à vous sur les pistes. :-p

Allez, Je dois leaver je dois leaver*.

Nicolas

photo : la première, c'est Wikipédia, the Alaska Highway, la deuxième, c'est moi, cet été sur un fameux trois mâts.

*ça fait con, hein?