mercredi 22 octobre 2008

the West is the Best


Bonsoir.
Bienvenue à cette soirée exceptionelle de lecture d'articles bizarres sur le blog absurde d'un gars qui aurait aimé écrire beaucoup de trucs, si ridicules auraient-ils pu être, ce mois-ci, mais qui en fait a subi quelques embûches et qui, par conséquent, dans un soirée tombante bien fraîche, où il ressent de plein fouet l'attente des vacances de la Toussaint, se lance dans une phrase sans fin qui fait office d'introduction, quoique le mot est un peu fort, voire trop, disons d'en-tête humble à ce qui va s'avérer être un nouvel article sans idée de départ, ni d'ailleurs d'idée de fin, fait qui pourrait s'avérer, à moyen ou long terme, bien que ça dépende de la longueur du terme, et de vous aussi, assez lassant.




Ce soir j'aurais bien envie de prendre mon temps, après ces habitudes de stress parisiennes écrasantes, et c'est une des raisons qui me poussent à ralonger ces phrases à l'infini, un infini certes très relatif, bien que l'idée commence à s'introduire en moi que cet exercice va vraiment s'avérer périlleux pour l'attention de mes rares lecteurs et qu'il paraît donc logique que je trouve quelque chose de notable à dire...

Alors je remonte de quelques mois dans des archives en ligne, et je me souviens qu'il y a certaines choses qui ne doivent pas arriver trop souvent. Créer un blog, par exemple.

Alors je remonte de quelques années dans la mémoire des disques durs, et je me rends compte que le temps passe très très vite depuis quelque temps. Et même l'âge commence à avancer en oubliant de raccourcir les impatiences, on dirait !

Alors je remonte jusqu'à l'enfance dans des albums photos, et je cherche un moyen impossible de retrouver le territoire merveilleux que je voyais autour de moi en 1996. Pourtant, je cherche, et des indices me soufflent que j'aurais pu y laisser un pied si j'avais su...

Sartre dirait peut-être que je dois assumer les conséquence de mon choix devant l'humanité, car il est mon reflet, mais faut-il préférer écouter Engels, qui me destine à continuer à subir les lois de l'univers du début à la fin de mes jours ?
















Une fois de plus, je souhaite à l'humanité* une bonne soirée.
Nicolas

* à défaut de l'atteindre, je te le souhaite déjà à toi.

photos : dimanche 19 octobre, journée ensommeillée

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