dimanche 30 novembre 2008

Au soir de la tearennie grouillante


Salut.

A moitié sur les Grandes Aires d'Engloutissage Internationales, à demi parcourant les montagnes colombées des rêveurs-apprentis-packeurs-puis-voyageurs, un troisième et dernier semi tergiversant sur la nécessité comprise de l'humour dans l'art de combattre sans frapper, Arnaud réfléchit.
Combien de métros faudra-t-il prendre, pour avoir le temps de penser la foule et d'écouter leur silence massif jusqu'à la comprendre?
Combien de tours du monde pour comprendre son chez-soi ?


Faut-il un seul lombric pour versifier ?

Une seule vache pour vociférer ?


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Hum, oui, désolé..





Bonne semaine.
Nicolas

photo : hier soir, cour de Rome

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